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Ma poésie.......
Toi…….
Il est des gens si uniques qu’on les croit irréelles
Comme ces étoiles habillées d’une magie éternelle
Elles nous grisent de bonheur à travers un regard
Et nous protègent des mauvaises ombres comme un phare
Ces gens sont comme un poème ou la muse est l’infini
Comme l’aube langoureuse qui se dévoile après la nuit
Comme un je t’aime timide volé par le vent
Comme une caresse furtive au souffle enivrant
Si je devais parler de toi en quelques mots
Je te comparerai à cette fleur zen qu’est le potamot
Tu es un écrin de douceur, un astre qui scintille intensément
Dans le ciel de douleur qui m’étreint à tout moment
Je raconterai ta sagesse et la pureté de ton cœur
Comme celle de l’ange céleste taquin et rieur
Pourvu de bonté qui bourgeonne à chaque instant
Dans ses rayons vifs, troublants mais envoûtants
Je dessinerai de mes doigts ton intérieure beauté
Et ta sollicitude qui se mélange parfaitement à ce coté
L’innocence qui de tes yeux se dégage
Et ton air mutin…pas toujours très sage !
Je parlerai de ta douceur si délicate et précieuse
Mais aussi de ton humeur parfois si capricieuse
De toute cette tendresse qui de toi émane
Qui grandit, s’épanouit et jamais ne se fane
Je n’oublierai pas de mentionner ta légendaire gentillesse
Dont tu m’entoures, moi, sans cesse
Comme si tant d’amitié et d’amour naissent de tes mains
Belles offrandes que tu fais à ceux qui croisent ton chemin
Voyage…
Dans un univers de sommeil, comme un bateau sans voiles
Mon cœur entame le rêve, je navigue parmi les étoiles
Sous la voute céleste, je laisse mes paupières se fermer
Puis, je vois ton visage et mon âme à la tienne va s’arrimer
Au son du vent, voguant vers une île tropicale
Au rythme de l’eau, je veux y faire escale
De cette contrée inconnue, admirer les paysages
Me vêtir de l’écume de la mer et de fleurs sauvages
Mais c’est ta présence que je ressens
Seulement tes mots que j’entends
Je veux me cacher dans ce monde parallèle
Rester avec toi dans cet Eden atemporel
J’entends le clapotis de l’eau qui me berce, cascade d’une tiède averse
Mais c’est ton souffle qui me caresse, qui apaise mes détresses
Une communion ou l’on tremble ensemble, dans nos silences…
Tout se dit, se résume, réside dans notre connivence
Mon Dieu, ce n’est pas un rêve ! Tu es là, le cœur en éveil
Tu veilles sur mon sommeil, avec toi rien n’est jamais pareil
Tu m’as offert la lune, le soleil, la pluie, le vent, les frissons….
C’est ensemble que nous découvrons chaque fois les saisons
Viens, moi je t’offrirai la lune opalescente du coucher
Afin que tes rêves y soient bercés
Et c’est sous une pluie d’étoile que notre bateau fera escale
Nos paupières fermées, nous accosterons sur l’ile Opale.
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