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    Exposition art contemporain super sympa... a la bibliotheque nationale Hamma.


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  • Ce jour est tres particulier pour une personne qui m est tres tres chere ... sa Maman as quitté notre monde ici bas pour l audelà bien meillieur!

    Je suis de tout coeur avec toi, et j aimerai tant etre a tes cotés ... pour ne serait ce que te tendre mon epaule sans dire mot. Tu vis des instants

    indescriptibles meme avec les mots les plus savants.. toi qui sait manier le verbe je te presente toutes mes condoleances en mon nom personnel et au nom de tous les lecteurs

    de tes merveilleux textes.. Que ta maman repose en paix dans un ryadh puis au paradis! Te connaissant et me rappelant du dicton : on reconnait l'arbre a ses fruits, ta Maman

    ne peut etre qu'au meilleur des endroits! a la droite de qui tu sais...inchallah.

     


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  •  Je rentre dans le box pour voir mes nouveaux patients de la semaine et je voila que mon regard croise une tres jolie petite fille au regard malicieux perchée sur son berceau me tendant son jouet, tout en m approchant d'elle je la vois debout sur "ses genoux" sa main gauche retractée et son epaule comme fixéé... j evalue son age a 2ans mais elle a presque trois ans.. je demande alors apres sa maman et me vient une 'nurse' toute vetue de blanc me tendant un dossier?? C'une orpheline handicapée me dit elle le plus banalement possible.. je debute donc mon anamnese medicale et j apprends que "putain de vie.." c est une petite fille accouchée sous X dans la province algerienne ayant une soeur jumelle (homozygote) (vraie jumelle) .. je demande alors ou est donc son autre moitié? en france !! expliquez moi comment se fait il qu elles soient separées?? c est simple me retorque la nurse, l autre n est pas malade!!

    La rage au coeur, j examine ma petite patiente et la ma stupeur est immense, je revois pour la deuxieme fois de ma vie medicale "l'arthrogrypose" dans sa forme historique et semiologique comme decrite le siecle dernier :" poupées de bois"... immaginez vous les toutes les articulations des membres superieurs et inferieurs bloquées en semi flexion, dont la mobilisation active est quasi impossible! c est donc une retraction polyarticulaire bloquant la petite en quadriflexion... en somme ce n est pas joli a voir! 

    D'innombrables seances de kinesitherapie n ont rien pu faire contre cette "rigidité", il faut donc realiser une intervention dans le meilleur des cas.. pour chaque articulation.. je vous laisse faire le calcul..

    aaahh putain de vie!


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    Une fracture chez un enfant est bien heureusement begnine dans la majorité des cas.. au vu du pouvoir de regeneration de l'os chez ces petits etres adorables!!

    Le petit bout de chou arrive generalement en pleurs accompagné de ses parents inquiets avec un gros bobo a la jambe ou au bras, apres un examen clinique et un interrogatoire bien conduit concernant le mecanisme de la chute  et surtout des clichés radilogiques appropriés l on arrive a poser le dgc : a svoir le type de fracture!

    la prise en charge est alors relativement simple, elle consiste en "la regle des 3 C"

    -CONTENTION : un joli platre bien fait pas trop serré!!! (attention aux syndromes des loges!!!!!)

    -CALMANTS : un medicament a type d antalgique ... palier un suffit!

    -CALINS : oui! un gros calin de papa ou maman fait bien plus de bien que tout!!!!


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         Candide votre « complainte » est subliminale. Vous avez exprimé en des mots ô combien révélateurs un comportement sociétal nouveau et inacceptable pour nous millions de femmes nostalgiques d'une époque révolue et toujours désireuses d'être encore courtisées avec des fleurs, de la poésie et des mots attentionnés qui peuvent encore faire chavirer nos cœurs. Incontestablement vous avez raison et c'est par cette écriture à la fois affinée et délirante, savante et intempestive que vous entreprenez de déstructurer un mythe nouveau tout en glorifiant une réminiscence précise de souvenirs incoercibles et de fantasmes qui greffent leurs incohérences sur des mirages. Nous vivons dans une société qui zappe les amours ou les hommes sont devenus insensibles à l'amour épistolaire et à l'amour tout court, au point que certaines d'entre nous en arrivent à regretter les Don Juan pourtant connus pour leur libertinage et leur pouvoir séducteur. Qu'est-il arrivé à l'homo sapiens ? Mon propos aujourd'hui n'est pas de critiquer ce que vous dites mais je viens plaider la cause de cet homo sapiens, je veux lui trouver des circonstances atténuantes, mais attention, je ne trahis pas mes sœurs pour autant, ce n'est que ma supplication pour un retour à la confiance et surtout pour essayer de restaurer un climat d'espérance afin de retrouver l'amour et pourquoi pas consolider l'attachement. Ne serait-ce pas à nous de décrocher pour trouver une ouverture pour sortir de l'impasse ? Demandons- nous, honnêtement, si les hommes n'ont pas des raisons de se sentir négligés. Certes, nous les avons soutenus et aidés à changer le monde, a le transformer, a faciliter nos vies en y apportant découvertes, confort et technologies. Cela a changé nos modes de vie et nous a changées aussi. Nous avons évolué dans nos mentalités nous ne sommes plus celles qui sont élevées de manière a n'être seulement sensibles  qu'aux besoins de l'homme et de le placer au devant de tout. Nous avons privilégié notre réussite sociale, nous avons gagné notre liberté, nous pouvons voter...quelque part nous leur arrachons leur masculinité ! Nous avons même perdu l'envie d'amour car le désir sexuel se dissout dans le souci, la tension d'esprit, le désordre des pensées dirigées tous azimuts. Certaines d'entre nous jugent même désuet le rôle de l'épouse dévouée. Oui, je crois que ce que nous sommes devenues leur fait peur, tellement peur qu'ils refusent de s'engager. Ils maitrisent l'art de l'éviter, ils valsent avec nos sentiments, la force de la passion qui dirige leur action étant souvent destructrice, mais en même temps constituant leur seule essence existentielle. Nous sommes accablées d'obligations, le temps nous manque cruellement, notre vie trépidante pleine de préoccupations nous fait manquer de temps pour aimer et aimer c'est entrer dans le temps gratuit, s'il n'y a plus de temps gratuit il n'y a plus d'amour. Notre comportement au fil du temps a « robotisé » les sentiments de ceux qui sont supposés nous aimer de mille et une façons, nous sommes devenues à leurs yeux des femmes objets qui véhiculent tout un univers de fantasmes auquel beaucoup ne peuvent résister et au lieu de s'encombrer de sentiments qui ne peuvent aboutir qu'à l'engagement, la plus part ne préfèrent

    voir dans cette femme objet qu'une jolie frimousse, une jolie paire de jambes, une jolie pair de seins.....une prise facile, un défi ou un dernier recours à consommer. Ils préfèrent de loin se cantonner dans l'ambiguité refusant une conclusion catégorique, et aujourd'hui les moyens de communication aidant, du virtuel au réel, la multiplicité des rencontres passe pour l'expression la plus « pointue » de la liberté. On signe la fin d'une relation avant même qu'elle n'ait commencée, on est mené par la girouette qui tourne selon le dernier vent qui souffle. Tout cela a abouti à la perte de confiance. « Je suis incapable d'aimer » disent beaucoup d'hommes. Une nouvelle forme d'impuissance. Il y a souffrance, c'est certain !

    Nous, ce que nous voulons c'est être aimée et former un couple, mais pourquoi la notion de couple est-elle indissolublement attachée à la promiscuité sexuelle ? Parce que l'émancipation de la « nouvelle » femme signifie que chaque sexe doit prendre en considération les besoins physiques et émotionnels de l'autre. Alors ils hésitent parce que nous réclamons l'amour, le vrai celui qui existe pour l'éternité, l'amour principe et fin de tout. Mais eux craignent beaucoup ce sentiment brutal qui fait mal telle une flamme qui s'enflamme sans bruler mais qui brule dans l'âme. Alors, ils érigent des obstacles ; le sublime n'est pas au programme de la rencontre quotidienne et l'émerveillement s'il arrive et persiste après des moments romantiques il fait très vite partie de souvenirs. Et ce sont ces souvenirs qui nous mettent une nostalgie qu'il faut bien se garder de prendre pour de l'espoir. Eh bien, exploitons les obstacles au lieu de les contourner. Plutôt que de nourrir nos pensées en nostalgie, pourquoi n'allons nous pas vers eux. Inversons les rôles, agressons- les avec nos demandes, nos attentes. Le mot femme n'a-t-il pas deux sens, la femme qui veut dire femme et la femme, femme d'un homme ? Soyons dans la plénitude totale de ce mot ! Mais attention que la société ne se méprenne pas, nous ne voulons pas défier les coutumes, mais juste corriger et modifier ce nouveau comportement qui s'érige en système social, non pas chez ceux qui aiment mais chez ceux qui désespèrent et ont le cœur vide. Nous voudrions annihiler ces attitudes néfastes. Rassurez vous ce n'est pas une révolte, n'avons-nous pas accepté, pour des siècles, les interdits et les prohibitions que notre culture nous impose ? Oui Candide vous avez  raison, vous qui savez exprimer avec fougue tous ces sentiments contradictoires de l'homo sapiens sans pour autant vous départir de votre inébranlable solidarité pour vos sœurs. Oui ensemble ouvrons leur nos bras, ce ne sera pas un combat perdu d'avance, ne restons pas prisonnières emmurées dans notre « dignité ».Allez, opération séduction tous azimuts !!!!!!!!!!!!!!!!

    Oublions la honte vécue comme une offense inadmissible, oublions leur égoisme qui entrave notre don de soi, oublions nos sentiments d'échec, oublions d'être la partenaire rejetée, oublions l'abus de formalisme ou de conformisme, oublions nos échéances de vieillissement.....oublions.....oublions....et oublions. Sortons- les de ce marasme, sortons- les de leurs doutes, sortons- les de leur mal-être, sortons- les de leurs hésitations, sortons- les de leurs cynisme, sortons- les de leur tergiversations, sortons même certains de leurs abstinences monacales, sortons- les du célibat qu'ils se sont imposés. Sans verser dans le dithyrambe, débarrassons- nous des archétypes surannés. Usons de notre charme manipulateur sinon de notre spontanéité meilleure que toute formule sophistiquée. Ne craignons pas de nous montrer complaisantes et déférentes, c'est tout à notre honneur mais ne devenons pas leur mère avec notre instinct maternel qui nous fait dorloter. Soyons attentives, ayons l'envie de tout partager, c'est primordial, usons de ces petits gestes qui donnent l'intensité à la vie de couple. Au lieu de leur reprocher leur manque d'imagination ou de désir, agressons-les de manière positive non dénuée d'amour et d'humour. Exprimons clairement nos désirs c'est la meilleure façon d'aboutir. Devenons des séductrices, n'avons-nous pas les armes pour ? Allons au devant d'une parade valorisante, nos atouts seront la féminité, la sincérité, l'authenticité, la sympathie, la pudeur, la sobriété mais aussi la sensualité. Trouvons les gestes qui créaient un sentiment de complicité et qui laissent aimant et aimé dans un état d'esprit propice aux délices d'une vie pleinement réussie.

    Oui, homo sapiens, sapiens..... vivons ensemble un amour qui n'a ni début ni fin, ni milieu ni point et qui est tout en un !

     Indéniablement, indubitablement, incontestablement, immanquablement et....inéluctablement nous sommes faites pour aimer et être aimées !!!!!!!!!!!!!

    Je terminerai en  citant Albert Camus : «  Il y a dans les hommes plus de choses à admettre que des choses à mépriser »


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