• un texte a savourer!

     Grand Corps Malade.

    Le corps humain est un royaume ou chaque organe veut être le roi

    Il y a chez l'homme 3 leaders qui essayent d'imposer leur loi

    Cette lutte permanente est la plus grosse source d'embrouille

    Elle oppose depuis toujours la tête, le coeur et les couilles

    Que les demoiselles nous excusent si on fait des trucs chelous

    Si un jour on est des agneaux et qu'le lendemain on est des loups

    C'est ä cause de c'combat qui s'agite dans notre corps

    La tête, le coeur, les couilles discutent mais ils sont jamais d'accords

    Mon coeur est une vraie éponge, toujours prêt ä s'ouvrir

    Mais ma tête est un soldat qui s'laisse rarement attendrir

    Mes couilles sont motivées, elles aimeraient bien pécho cette brune

    Mais y'en a une qui veut pas, putain ma tête me casse les burnes

    Ma tête a dit a mon coeur qu'elle s'en battait les couilles

    Si mes couilles avaient mal au coeur et qu'ça créait des embrouilles

    Mais mes couilles ont entendu et disent ä ma tête qu'elle a pas d'coeur

    Et comme mon coeur n'a pas d'couilles, ma tête n'est pas prête d'avoir peur

    Moi mes couilles sont têtes en l'air et ont un coeur d'artichot

    Et quand mon coeur perd la tête, mes couilles restent bien au chaud

    Et si ma tête part en couilles, pour mon coeur c'est la défaite

    J'connais cette histoire par coeur, elle n'a ni queue ni tête

    Moi les femmes j'les crains, autant qu'je suis fou d'elles

    Vous comprenez maintenant pourquoi chez moi c'est un sacré bordel

    J'ai pas trouvé la solution, ça fait un moment qu'je fouille

    Je resterais sous l'contròle d'ma tête, mon coeur et mes couilles.


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  •  Tres souvent lorque l on voit des patients en consultation l on evalue leur BMI ou IMC, certes c est pour la prevention des maladies liees a la surcharge ponderale mais aussi pour le confort chirugical! oh mon dieu combien il est difficile d operer un malade obese : c est presque un combat! combien de chirugien pestent en voyant sur la table un malade obese!

    sauf bien sur pour les chirugiens qui eux guerissent de cette "maladie"

    http://www.obesitechirurgie.com/index_fr.htm


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  • Une étude, ne confirme pas l'opinion répandue parmi les médecins selon laquelle les suites opératoires seraient moins simples chez les médecins et leurs proches. Leurs suites opératoires sont les mêmes pour autant qu'on les soigne comme les autres patients. Le mieux pour son patient, médecin ou non, est de faire ce que l'on sait faire et de le faire comme à l'ordinaire. Une des clés de réussite réside probablement dans une attitude sereine, sous tendue par une auto évaluation réCgulière et objective de son exercice.

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  • j'aimerais apporter quelques précisions concernant les notions de «maître » et de « patron » d'une part, et d'« influence » et de « notoriété »d'autre part.

    Dans le milieu universitaire, il y a lesprofesseurs, les patrons et les maîtres. On peut, certes, être les trois à la fois,mais la plupart restent professeurs ; certains deviennent patrons ; rares sont lesmaîtres.

    Le maître ne se définit évidemment pas par lesseuls rapports de maître à élève... Le maître n'est pas un instituteur. Le maître,comme chez l'artiste ou l'artisan, c'est le créateur, le compositeur, alors que le patronest plutôt l'interprète, l'organisateur. Le maître ne pense pas que technique,mais vous arme l'intellect pour penser l'avenir et le créer. Le patron, à l'opposé,joue essentiellement sur la technique, sur la réalisation immédiate, et a tendance àinstitutionnaliser le présent et à figer l'avenir.

    Les rapports de maître à disciple sontplutôt de type affectif, de père à fils spirituel : on peut discuter, voire même sebrouiller sans que cela aboutisse jamais à une rupture. Les rapports avec le patron sontplutôt des rapports de soumission, d'employeur à employé, de « maître » à esclave.Se disputer et se fâcher avec son patron, c'est une faute grave : on peut y perdre saplace ou signer son arrêt de mort. Enfin, le maître a forcément une dimension morale etintellectuelle, alors qu'un patron, fût-il grand, peut n'être qu'une parfaite crapule.

    Influence et notoriété sont des caractéristiquesdes maîtres et des patrons, mais ne sont pas de même nature, tout en étantéventuellement liées.

    La notoriété a deux composantes : la notoriétéreposant sur des travaux originaux et des publications internationales, qui est d'origineintellectuelle, et la notoriété reposant sur le recrutement, qui fait plus appel à desqualités publicitaires, de relations publiques. L'influence a pratiquement les deuxmêmes composantes : l'influence intellectuelle et morale qui vient de la seulepersonnalité, et l'influence que l'on peut appeler matérielle (ou pouvoir...), celle quifait nommer et qui vient du politique, des relations, des « institutionnels ».

    Le patron manque souvent de notoriétéintellectuelle, avec en revanche une grande influence matérielle. Le maître a forcémentune notoriété intellectuelle et une influence morale.

    Professeurs, patrons, maîtres...


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  • Asclépios (AsklhpioV) ou Esculape chez les Romains, était le dieu de la médecine

    Ses attributs étaient le serpent, le coq, le bâton, la coupe. Ses principaux sanctuaires (Asclépieia) étaient ceux de Tricca, de Cos, de Pergame, d'Athène et d'Epidaure. Le culte, à cet endroit, était fort réputé. C'est à Epidaure que l'on venait chercher la guérison, en suivant des règles strictes. Des serpents non-venimeux se promenaient dans le temple d'Asclépios en toute liberté. Asclépios apparaissait alors en songe aux prêtres et leur révélait le remède qui rendait la santé.

    Les descendants d'Asclepios, les Asclépiades, formèrent une confrérie, avec ses rites secrets. Hyppocrate, le grand médecin de l'antiquité, serait un descendant d'Asclépios.
    Le culte d'Esculape fut introduit à Rome en 290 av.J.C. lors d'une épidémie de peste. On éleva un temple au dieu sur une île du Tibre. Plus tard on le confondit souvent avec Sérapis

    Suivant la légende la plus répandue, il était fils d'Apollon et de Coronis qui était la fille de Phlégias roi des Lapithes. Coronis était enceinte d'Apollon quand elle prit pour amant un arcadien du nom d'Ischys.
    Apollon avait laissé un corbeau blanc pour la protéger qui vint l'avertir de son infortune. Le pauvre corbeau fut maudit et depuis ce jour là son plumage devint noir.
    Apollon conta sa mésaventure à sa sœur Artémis qui cribla de flèches l'infidèle Coronis et lui même tua Ischys. Le corps était déjà sur le bûcher funéraire lorsqu'Apollon réalisa que son amante était enceinte et arracha son fils du ventre de sa mère et des flammes.
    Dans une autre version Coronis accoucha normalement alors qu'elle visitait Epidaure en compagnie de son frère. On raconte aussi qu'il était le fils d'Arsinoé la fille de Leucippos.

    Le petit Asclépios fut recueilli par un berger qui le nourrit du lait de ses chèvres et plus tard Apollon confia son fils au Centaure Chiron qui lui apprit l'art de la médecine. Athéna lui donna deux fioles contenant du sang de Méduse. L'une permettait de tuer et l'autre de ressusciter les morts. Asclépios s'en servit à plusieurs reprises (Lycurgue, Capanée, Tyndare, Hippolyte...) mais Hadès se plaignit à Zeus que l'ordre du monde risquait d'en être changé et ce dernier foudroya Asclépios. Cet acte mit Apollon en colère et il alla tuer les Cyclopes qui avaient simplement forgé la Foudre. Et pour finir Zeus envoya Apollon comme esclave chez Admète.

    Toutefois Zeus rappela Asclépios à la vie sous la forme d'un serpent, réalisant ainsi la prophétie de la fille de Chiron qui avait prédit qu'Asclépios deviendrait un dieu.
    Asclépios fut considéré comme un dieu des plus populaires. Il épousa Epioné, la fille du roi de Cos dont il eut quatre filles et deux fils qui l'aidèrent dans son entreprise.

    On le représentait sous la forme d'un jeune homme imberbe au début mais vers le IV ième siècle sa représentation se mua en celle d'un homme barbu. Il est souvent entouré de sa femme Epioné (Celle qui guérit), ses filles Panacée, Hygie, et de ses fils Podalire, Machaon et de Télesphore (génie de la convalescence). Machaon et Podalirios se sont illustrés comme médecins dans l'armée des grecs, à Troie.


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