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Le blog c'est un peu le miroir
Où les mots jouent de leur pouvoir
Où les vies se reflètent
Sur la grande toile qu'est le net
Le blog, c'est comme un planisphère
Mais qui n'a pour toute frontière
Que l'esprit qui s'en va en voyage
Et qui d'un clic va de page en page
Le blog efface l'âge et l'espace
On est tous égaux, face à face
Aucun mépris, fi de la couleur
Seuls nos mots, nos maux, nos cœurs
Le blog a un goût de liberté,
La porte n'en est jamais fermée
Qui que l'on soit et d'où que l'on vienne
Rien et personne qui nous retiennent
Le blog c'est aussi l'endroit
Avant que la vie ne reprenne son droit
Où l'on se repose un instant
De son tourbillon constant
Mais voilà......
Dommage qu'à cause d'esprits malveillants
De gens abjectes et méchants
On ne peut plus y faire des commentaires
A cause de ces langues de vipères
Toi le visiteur, tu aurais été le bienvenu
Tu y aurais écrit tes avis sans retenue
On s'impose la censure à cause de ces vils mesquins
Continue à venir l'ami, l'enfer sera leur destin
Et aujourd'hui....ça récidive
Mais faire le jeu d'une délaissée serait malsain
Je compatis presque à son délire et à son chagrin
Je m'en remets à Dieu l'Omniscient, l'Ineffable
Que c'est triste..j'aurais même aider cette misérable
Dieu le Clément, Pardonne lui son égarement
A cause de sa perfidie et de son dérèglement
Elle porte de très très graves accusations
Sa seule vertu est la calomnie et la diffamation
Si écrire, célébrer l'amour et s'essayer à être poétesse
De son meilleur ami on est accusé d'en être la ...maitresse !!!!
Par une innommable "chose" éjectée..désertée
Je n'ai que pitié pour cette pauvre âme qui n'a aucune dignité!
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Il est de notoriété de relever une certaine apparition fugace et une fulguration que comptent un comportement et une attitude pour le moins ubuesques, tant cette apparition notamment s'apparente au cycle de l'hibernation de certaines espèces vivantes.
Cette hibernation est quadriennale et dépend de grands événements d'ordre politique qui concernent la nation. Surgissant de la boîte de Pandore, ils s'élancent « ad Iimina apostolorum » dans un prêchi-prêcha récurrent pour entretenir des inimités fondées sur une somme d'objurgations, à telle enseigne que leur discours nous renseigne sur leur état de frustration pour leur dire : « Ne marchez pas le long d'un cimetière et vous ne ferez pas de cauchemars. » « Ces donneurs de leçons, stratèges de salon et moralistes de prétoires », ces pamphlétaires charrient avec une charge « delirium tremens » dans une aura, un scotome, une « acta fabula » vindicative qui resurgit au sortir de chaque hibernation.
Donc, à l'approche de chaque événement marquant de la vie politique de la nation, nos bons samaritains sortent de leur refuge douillet pour voler au secours du pays et fustiger toute la sphère à l'intérieur de laquelle ils entretiennent leur léthargie cyclique, mais oh ! combien insidieuse.
Dès lors que le pays s'est engagé dans une nouvelle phase politique, voilà que des alternatives ressemblent à Sisyphe et leur courage se compte au nombre de leur retraite spirituelle à l'issue desquelles nous avons droit à des ad hominem et des incantations in petto. Qui plus est, « il n'est pas conseillé de jeter des pierres quand on habite une maison de verre ». Mais nos alternatives vont jusqu'à trouver la parade en procédant à une analyse sur le comportement de l'armée, suggérant de la sorte une compromission. Dans quel but ? Pour quel avantage ? Au profit de qui ? Pour répondre à quoi ?
Il est difficile, voire impossible, d'aganter ces prétendus « gardiens du temple ». « D'ailleurs, il se trouvera toujours des marchands de chandelles pour se plaindre de la concurrence du soleil. » Ainsi, sont-ils qualifiés d'infatués par le poète qui, dans une remarquable allégorie, traduit ce genre de comportement à travers « cette volée de moineaux qui, grisés par leur envol, se sont pris pour des faucons ». (1) Ne pouvant se départir de leurs réflexes belliqueux, ils trouvent matière à tétaniser l'action d'autrui en déversant leur intarissable fiel, une litanie de jérémiades, de vouloir coûte que coûte porter le débat en une querelle de cloche-merle.
Pour toute contribution au développement des libertés politiques, de la libre expression, de la défense des droits de l'homme, ils se sont confinés dans un discours catilinaire ad unguem, gonflé de catharsis. Ne faut-il pas nettoyer ces « écuries d'Augias ? Que non ! », car ce n'est pas en changeant les tâches du léopard qu'en change l'animal. Ne doit-on pas garder raison ? Certes oui ! Car, l'on ne peut modifier leur modus faciendi. Certains sonnent l'hallali, en se gardant de quitter leur ténébreuse « tanière ». D'autres sous un parapluie dans une harangue stridente se prévalent de la force de galvaniser le peuple qui, pour sa part, n'accorde aucune attention à ces « envolées », dont les échos se perdent dans le son même qu'elles produisent. « Vous devriez brûler tout ce meuble inutile. » « Et laisser la science aux docteurs de la ville. » Un autre poète déclama ces autres vers : « Toute dignité n'est point de ton rang, ne t'échine donc pas à vouloir l'atteindre. Prends place et contente-toi de faire ripaille et porter parade. » (2)
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Tendrement de tes bras tu m'enlaces
Tendrement de tes lèvres tu m'embrasses
De l'odeur de ta peau je m'enivre
De tes caresses je me sens revivre
Sur ton visage un sourire radieux
A la lumière de tes yeux malicieux
L'élixir de ta bouche ou l'amour se propage
Enveloppe entièrement mon visage
Tu es la lumière qui m'illumine
L'étoile qui me fascine
Mon cœur déborde de tendresse
Mon corps brule sous tes caresses
Allongée contre toi, je suis libérée
Dans tes bras j'aime m'envoler
Avoir l'impression d'avoir des ailes
La sensation de toucher le ciel
Tu remplis à jamais mon cœur de langueur
Vers toi mes désirs vont sans peur
J'aime à te regarder et sentir
Ton corps sous mes caresses frémir
Sentir mon corps t'accueillir
Nos deux corps se réunir
Dans une parfaite harmonie
Un cadeau que nous fait la vie
Tu es mon bonheur, celui qui m'a fait découvrir
L'amour et la douceur, j'ai pu sentir
Le sens du mot aimer, être aimée
Les frissons et la chaleur d'un amour passionné
Je me demande comment la nature
A une grande échelle de bavures
A pu créer en une seule fois
Un être aussi merveilleux que toi
Je suis fière et comblée
Que c'est à moi qu'elle t'a confié
Pour moi seule à t'aimer
pour maintenant et pour l'éternité.
Toi, mon TOUT, voilà un petit bout de chemin
Que nous avançons main dans la main
Cultivons notre amour, notre tendresse
Pour que notre histoire, jamais ne cesse
Je t'aime.......
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Dieu a créé les yeux pour voir, et les larmes pour sortir le trop-plein de nos émotions. La force de pleurer est une ressource cachée que nous possédons tous et les larmes en sont l'expression. On pleure de joie, de tristesse, de douleur où pour mille et une autre raisons, ce n'est donc pas une honte, ou une faiblesse que de pleurer, mais un grand bienfait comme rire.
Alors pourquoi les hommes ne pleurent-ils pas ?
Bien sur il y a la manière dont chaque individu affronte la joie ou la douleur et qui dépend de multiples facteurs : la tradition, l'éducation, la culture, l'histoire personnelle et bien sur la personnalité.... mais hélas certaines cultures n'encouragent pas le déballage émotif, il est mal vu qu'un homme puisse pleurer en public quelle que soit la circonstance et souvent les hommes ont reçu une éducation d'un autre temps. Il y a donc le conditionnement familial et culturel, on enseigne souvent à un fils qu'il doit être fort en toutes circonstances, que les larmes sont pour les filles, un garçon, lui, ne pleure jamais. :"Ne pleure pas si t'es un homme, tu dois être fort !»
Pourtant notre société ne facilite pas la paix, la solidarité, la sérénité, la joie de vivre ni l'espoir. Alors pourquoi fuir les situations qui pourraient faire monter aux yeux les larmes libératrices?
En étant programmés à ne pas pleurer même quand ils sont blessés physiquement ou émotionnellement, les hommes doivent coûte que coûte maintenir leur calme et présenter un visage impassible même lorsque leur cœur pleure l'être cher, saigne d'amour, de tristesse, de peur.... Quand on est conditionné et qu'on se focalise sur les apparences, on connaît inévitablement l'isolement et la solitude en intériorisant ses sentiments. Résultat, ces immenses réservoirs de larmes non versées ont donné des hommes qui cachent leurs sentiments, des êtres murés dans des concepts figés.
C'est pourtant faire preuve de courage que d'accepter de se laisser aller à pleurer. Les larmes servent à préserver notre humanisme en permettant de montrer les sensations que l'on ressent lors d'une confrontation joyeuse ou douloureuse. Pleurer n'est pas un signe de lâcheté tout comme ne pas pleurer n'est pas un signe de virilité. Pleurer veut dire que l'on vit et que l'on ressent les choses, tout simplement. Rien n'est plus touchant qu'un homme qui n'a pas peur de dévoiler ses sentiments quels qu'ils soient.
Un homme qui pleure, c'est un homme qui sait aimer et qui sait ce qu'est la souffrance.
Là où il y a une larme, il y a un cœur rempli de joie ou de mélancolie et seul l'être qui laisse filer une larme peut comprendre celle-ci, elle qui perle au gré du moment. On pleure pour se vider de toute sa douleur ou pour exprimer sa joie, chaque larme qui s'écoule vivement pour laisser fuir l'autre qui la suit obéit à un processus, à une magie qui apaise.
En général les larmes viennent d'elles-mêmes, peut être sommes nous tout simplement trop sensibles. Notre cœur, notre âme, sont trop sensibles. Sensibles à l'amitié, à l'amour histoire d'un jour ou pour toujours, au désengagement le désamour. Sensibles à la gloire, à la honte, au sourire d'un enfant, aux beautés de la nature qui nous entourent.... Est-ce peut être que nous aimons les gens : nos proches, nos parents, nos amis-es....que nos larmes ne tarissent pas en toutes occasions? Se laisser aller à pleurer n'est pas une tare. De valeureux guerriers après de durs combats ont laissés libre cours à leurs larmes sans pour autant être jugés de façon négative. S'il existe une différence globale entre hommes et femmes, elle est en grande partie influencée par le conditionnement social. Si les hommes ne pleurent pas c'est qu'ils craignent surtout de paraître faibles..... Il n'y a pas que les femmes qui peuvent pleurer, les hommes vivent les émotions tout comme les femmes, ce n'est pas une différence dans la sensibilité..... ce n'est que l'approche qui est différente!
Larme qui roule et coule
Bonheur en découle
Larme de rire et de joie
Qui pétille.. explose en soi
Des délices dont on est proies
Parfois de la félicité au désarroi
***
Larme qui coule et roule
Chagrin qui en découle
Larme vive et indolore
Cristal limpide et incolore
***
Larme qui caresse
En délicatesse la détresse
Elle voltige, culbute mais n'arrête point
Cette tristesse sans fin
***
Peine qui coule
Larme qui roule
Pour finir ta course
Au coin de la bouche
***
Larme qui croit en les promesses
Par envie ou par faiblesse
T'accrochant à l'ivresse
Des prétendues tendresses
***
Larme roule et coule
Raconte, libère tes peines
Souvent vaines
Triste déveine
***
Larme qui coule et roule
Chagrin qui en découle
Puis va t'échouer dans un recoin
Toute seule, toi qui craint
De mourir enfin
Larme c'est ton destin......
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